Le voyage improbable T02
Scénario - Dessin : TurfEditions : Delcourt
Le phare d’Ouestan et ses passagers continuent leur dérive dans l’espace sans répondre à aucune logique mathématique ou physique mais uniquement régit par les lois de l’humour et de la loufoquerie et ceci pour guider leur voyage improbable.
Retour dans l’espace pour la seconde partie du voyage improbable livré part Turf. Le phare d’Ouestan est toujours à la dérive dans l’espace. A son bord, le Professeur Schnaps et ses lumineuses idées, les sympathiques Sœurs Alisée et Elisa, le British John Noodles (qui va longtemps se souvenir de ce voyage), Aimée le gardien du phare (plus protecteur que jamais de ses biens) et surtout l’hypocondriaque et détestable professeur Kurt Fruchttück.
Ensemble et malgré leurs différences, ils doivent cohabiter et s’organiser pour survivre et éviter toutes les catastrophes dont ils sont eux même responsables. Après avoir évité une cassure de leur socle rocheux, un champ radioactif et la mise en orbite de certains passagers (ce qui nous livrera une bonne dose d’humour), les voici se dirigeant tout droit vers la lune. Arriveront-ils à rejoindre la terre ferme ou un autre continent ? C’est ce que vous découvrirez en lisant la seconde partie du voyage improbable.
Comment aborder ce dytique ? Tout simplement avec les yeux d’un enfant, pas la peine de chercher des réponses sur le fait qu’il n’y a pas d’apesanteur, que l’action se déroule en pleine luminosité ou bien encore qu’une balle arrive à traverser une chaussure sans blesser son propriétaire. Bref il n’y a aucune réponse à avoir car il n’y a pas de questions à se poser. L’objectif de Turf est principalement de se faire plaisir, de nous conter une histoire improbable et de nous divertir.
Notre regard d’enfant nous emmènera plutôt vers des situations loufoques, des jeux de mots, des quiproquos et surtout un bon moment de détente. Même si l’on peut regretter parfois que certaines scènes traînent un peu en longueur à cause de dialogues à rallonge qui nous font perdre un peu le fil de l’histoire.
Graphiquement parlant, Turf s’est également fait plaisir en jouant sur les expressions (visuels et verbales) de ses acteurs et ceci principalement avec Schnaps et Fruhttück (ce dernier est pathétique mais on prend plaisir à le suivre dans sa stupidité). Le gardien du phare prenant également sa part de bêtise. Dernier point, Turf nous offre également certaines planches totalement décalées avec une mise en scène des cases qui suivent le rythme de l’action ou les dialogues des personnages, ce qui rajoute un gros plus à ce voyage improbable.
Retour dans l’espace pour la seconde partie du voyage improbable livré part Turf. Le phare d’Ouestan est toujours à la dérive dans l’espace. A son bord, le Professeur Schnaps et ses lumineuses idées, les sympathiques Sœurs Alisée et Elisa, le British John Noodles (qui va longtemps se souvenir de ce voyage), Aimée le gardien du phare (plus protecteur que jamais de ses biens) et surtout l’hypocondriaque et détestable professeur Kurt Fruchttück.
Ensemble et malgré leurs différences, ils doivent cohabiter et s’organiser pour survivre et éviter toutes les catastrophes dont ils sont eux même responsables. Après avoir évité une cassure de leur socle rocheux, un champ radioactif et la mise en orbite de certains passagers (ce qui nous livrera une bonne dose d’humour), les voici se dirigeant tout droit vers la lune. Arriveront-ils à rejoindre la terre ferme ou un autre continent ? C’est ce que vous découvrirez en lisant la seconde partie du voyage improbable.
Comment aborder ce dytique ? Tout simplement avec les yeux d’un enfant, pas la peine de chercher des réponses sur le fait qu’il n’y a pas d’apesanteur, que l’action se déroule en pleine luminosité ou bien encore qu’une balle arrive à traverser une chaussure sans blesser son propriétaire. Bref il n’y a aucune réponse à avoir car il n’y a pas de questions à se poser. L’objectif de Turf est principalement de se faire plaisir, de nous conter une histoire improbable et de nous divertir.
Notre regard d’enfant nous emmènera plutôt vers des situations loufoques, des jeux de mots, des quiproquos et surtout un bon moment de détente. Même si l’on peut regretter parfois que certaines scènes traînent un peu en longueur à cause de dialogues à rallonge qui nous font perdre un peu le fil de l’histoire.
Graphiquement parlant, Turf s’est également fait plaisir en jouant sur les expressions (visuels et verbales) de ses acteurs et ceci principalement avec Schnaps et Fruhttück (ce dernier est pathétique mais on prend plaisir à le suivre dans sa stupidité). Le gardien du phare prenant également sa part de bêtise. Dernier point, Turf nous offre également certaines planches totalement décalées avec une mise en scène des cases qui suivent le rythme de l’action ou les dialogues des personnages, ce qui rajoute un gros plus à ce voyage improbable.
Eric
Chroniqueur
La Bande Du 9
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