Les Campbell – T3 : Kidnappé !
Acheter sur BD Fugue Scénariste et Dessinateur : José-Luis MunueraColoriste : Sedyas
Editions : Dupuis
« Un pirate ça pille et ça tue ! Un pirate ça crie et ça tue ! » Merveilleuse réplique qui illustre formidablement bien l’esprit de ce troisième album de la série Les Campell.
Dans cette série, José-Luis Munuera est au commande tant pour le dessin que pour le scénario. Il est ainsi libre de pouvoir s’exprimer pleinement, et, cela nous enchante forcément.
Les Campbell, pour ceux qui n’auraient pas dévorés les premiers albums, c’est une famille de pirates tendre et attachante où le père, légende de la flibusterie, s’est retiré pour élever ses deux filles, Itaca et Genova, après le meurtre de leur mère, et, où parmi leur plus proches amis, se trouvent une bande de lépreux qui aiment par-dessus tout… les livres !
Campbell est un personnage haut en couleur (et pas uniquement à cause des splendides couleurs de Sedyas) qui se partage entre son désir d’aventure et son rôle de père célibataire. Le second album s’était clos sur les deux filles attendant leur père, kidnappé (mais ca elles ne le savaient pas encore !)
Pour présenter un peu José-Luis Munuera, étudiant aux Beaux-Arts de Grenade, il a un penchant pour le dessin humoristique. Il dessinera entre autres les Potamoks, Merlin, Nävis, et, Spirou et Fantasio pendant quatre tomes, sans oublier la très jolie série Sortilèges (un de mes grands coups de cœur de ces dernières années)
Comme dans les deux premiers tomes, les différents chapitres, sont découpés grâce à d’élégantes illustrations représentant un ou deux personnages. Ces interludes permettent d’avoir une respiration à travers le rythme effréné de la narration de Munuera dans cet album riche en révélations et en évènements.
On y découvre l’identité du pirate Morgan, des retrouvailles familiales ou encore la recherche de Campbell par ses filles…
Le dessin est splendide et le dynamisme du trait porte l’histoire. Munuera dose parfaitement les gros plans sur personnages pour faire partager les émotions, les décors nous transportant vers les iles ou en pleine mer et les vignettes remplies de personnages dans les scènes de combats !
En bref : piraterie, aventure et humour, c’est le cocktail réussi de cet album à mettre entre toutes les mains !
Les Campbell, pour ceux qui n’auraient pas dévorés les premiers albums, c’est une famille de pirates tendre et attachante où le père, légende de la flibusterie, s’est retiré pour élever ses deux filles, Itaca et Genova, après le meurtre de leur mère, et, où parmi leur plus proches amis, se trouvent une bande de lépreux qui aiment par-dessus tout… les livres !
Campbell est un personnage haut en couleur (et pas uniquement à cause des splendides couleurs de Sedyas) qui se partage entre son désir d’aventure et son rôle de père célibataire. Le second album s’était clos sur les deux filles attendant leur père, kidnappé (mais ca elles ne le savaient pas encore !)
Pour présenter un peu José-Luis Munuera, étudiant aux Beaux-Arts de Grenade, il a un penchant pour le dessin humoristique. Il dessinera entre autres les Potamoks, Merlin, Nävis, et, Spirou et Fantasio pendant quatre tomes, sans oublier la très jolie série Sortilèges (un de mes grands coups de cœur de ces dernières années)
Comme dans les deux premiers tomes, les différents chapitres, sont découpés grâce à d’élégantes illustrations représentant un ou deux personnages. Ces interludes permettent d’avoir une respiration à travers le rythme effréné de la narration de Munuera dans cet album riche en révélations et en évènements.On y découvre l’identité du pirate Morgan, des retrouvailles familiales ou encore la recherche de Campbell par ses filles…
Le dessin est splendide et le dynamisme du trait porte l’histoire. Munuera dose parfaitement les gros plans sur personnages pour faire partager les émotions, les décors nous transportant vers les iles ou en pleine mer et les vignettes remplies de personnages dans les scènes de combats !
En bref : piraterie, aventure et humour, c’est le cocktail réussi de cet album à mettre entre toutes les mains !
Sébastien
Chroniqueur
La Bande Du 9
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