Américan Parano
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Tome 1 - Black House
Tome 1 - Black House
Scénario : Hervé Bourhis
Dessin : Lucas Varela
Couleurs : Lucas Verela
Editions : Dupuis
Dans le milieu du satanisme des années 60, une jeune inspectrice va enquêter suite à un mystérieux meurtre. Une quête qui va peut-être également lui permettre de résoudre ses propres problèmes.
San Francisco 1967, sous le célèbre pont, une jeune fille sans vie, dénudée, mutilée, vient d’être découverte à l’ouverture du parc. Aussitôt la police se rend sur les lieux. C’est le vieux briscard lieutenant Ulysses Ford accompagné de la novice inspectrice Kimberly Tyler qui vont se charger de récolter les premiers éléments de l’enquête. La jeune inspectrice repère de suite un pentagramme dessiné sur le ventre de la victime. De suite, Ford oriente ses premières investigations vers le Baron Yeval, qui est le fondateur de « l’église de Satan », connu pour sa fantaisie et ses arnaques autour de messes noires et autres symboles liés au diable. Malheureusement ce dernier est absent, l’enquête piétine. Kimberly s’installe dans l’ancien appartement de son père et doit subir les remarques déplacées de ses collègues. Les premières auditions des adeptes de la secte de l’église de Satan commencent et Kimberly compte bien percer le mystère de cette mort curieuse et théâtralisée.
Ce premier volet non dénué d’intérêt va surtout servir à planter le décor et le suspense autour du personnage principal, à savoir Kimberly, et de la thématique du satanisme autour du Baron Yeval. Ainsi les lecteurs vont prendre plaisir d’avancer doucement dans cette enquête, de bien déceler les indices et d’apprécier le San Francisco des années 60.
Les auteurs et en particulier le scénariste Hervé Bourhis vont mettre en avant l’enquête mais également tout le contexte des 60 où la jeune inspectrice doit faire face au comportement patriarcal et machiste de ses collègues. Une manière de montrer que les choses ont heureusement évolué. Autre sujet évoqué, le satanisme et l’influence des sectes et gourous sur les adeptes.
Côté dessin, l’auteur argentin Lucas Varela (Michigan, Paolo Pinocchio) propose un dessin aux allures simples et sobres, jouant très peu sur les décors mais plus sur les premiers plans et arrière-plans. Un type de dessin où la couleur bichromie rouge-chair et bleue-noire renforce la vision de l’ambiance des années 60, donnant à cette histoire un petit goût de comics.
Très beau volet, la suite est attendue avec impatience.
San Francisco 1967, sous le célèbre pont, une jeune fille sans vie, dénudée, mutilée, vient d’être découverte à l’ouverture du parc. Aussitôt la police se rend sur les lieux. C’est le vieux briscard lieutenant Ulysses Ford accompagné de la novice inspectrice Kimberly Tyler qui vont se charger de récolter les premiers éléments de l’enquête. La jeune inspectrice repère de suite un pentagramme dessiné sur le ventre de la victime. De suite, Ford oriente ses premières investigations vers le Baron Yeval, qui est le fondateur de « l’église de Satan », connu pour sa fantaisie et ses arnaques autour de messes noires et autres symboles liés au diable. Malheureusement ce dernier est absent, l’enquête piétine. Kimberly s’installe dans l’ancien appartement de son père et doit subir les remarques déplacées de ses collègues. Les premières auditions des adeptes de la secte de l’église de Satan commencent et Kimberly compte bien percer le mystère de cette mort curieuse et théâtralisée.
Ce premier volet non dénué d’intérêt va surtout servir à planter le décor et le suspense autour du personnage principal, à savoir Kimberly, et de la thématique du satanisme autour du Baron Yeval. Ainsi les lecteurs vont prendre plaisir d’avancer doucement dans cette enquête, de bien déceler les indices et d’apprécier le San Francisco des années 60.
Les auteurs et en particulier le scénariste Hervé Bourhis vont mettre en avant l’enquête mais également tout le contexte des 60 où la jeune inspectrice doit faire face au comportement patriarcal et machiste de ses collègues. Une manière de montrer que les choses ont heureusement évolué. Autre sujet évoqué, le satanisme et l’influence des sectes et gourous sur les adeptes.
Côté dessin, l’auteur argentin Lucas Varela (Michigan, Paolo Pinocchio) propose un dessin aux allures simples et sobres, jouant très peu sur les décors mais plus sur les premiers plans et arrière-plans. Un type de dessin où la couleur bichromie rouge-chair et bleue-noire renforce la vision de l’ambiance des années 60, donnant à cette histoire un petit goût de comics.
Très beau volet, la suite est attendue avec impatience.
Eric
Chroniqueur
La Bande Du 9
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