Réalités obliques
Acheter sur BD FugueScénario et Dessin : Clarke
Editions : Le Lombard
Le vide, la mort, la peur de son ombre ou du noir, autant de sujets qui entourent votre quotidien. Mais Il est temps de faire face et de plonger dans les réalités obliques
A travers de multiples petite histoires (de 4 planches – 4 cases) Clarke nous transporte dans un autre monde. Un monde que nous refusons généralement d’affronter, le monde de l’angoisse, de la peur, de la paranoïa.
Laissez-vous porter par ces petites histoires et accompagner avec frayeur ces protagonistes d’un jour qui nous ressemblent tant. Vous ne sortirez pas indemne de cette lecture.
Principalement connu pour la série mélusine où les angoisses sont abordées d’un côté humoristique, Clarke nous entraine cette fois-ci dans un univers sombre et angoissant. Il a réussit à enfermer le lecteur dans chaque histoire au point de le faire paniquer, de le rendre impuissant, de lui donner la peur de tourner la page.
Un véritable exercice de style que de réaliser cette prouesse sur si peu de pages. Sûrement dû à la qualité du dessin en noir et blanc de Clarke, à la position de la caméra mais également à toute l’âme qu’il a dû (j’imagine) mettre dans ces planches, peut être une partie de ses propres angoisses.
Editions : Le Lombard
Le vide, la mort, la peur de son ombre ou du noir, autant de sujets qui entourent votre quotidien. Mais Il est temps de faire face et de plonger dans les réalités obliques
A travers de multiples petite histoires (de 4 planches – 4 cases) Clarke nous transporte dans un autre monde. Un monde que nous refusons généralement d’affronter, le monde de l’angoisse, de la peur, de la paranoïa.
Laissez-vous porter par ces petites histoires et accompagner avec frayeur ces protagonistes d’un jour qui nous ressemblent tant. Vous ne sortirez pas indemne de cette lecture.
Principalement connu pour la série mélusine où les angoisses sont abordées d’un côté humoristique, Clarke nous entraine cette fois-ci dans un univers sombre et angoissant. Il a réussit à enfermer le lecteur dans chaque histoire au point de le faire paniquer, de le rendre impuissant, de lui donner la peur de tourner la page.Un véritable exercice de style que de réaliser cette prouesse sur si peu de pages. Sûrement dû à la qualité du dessin en noir et blanc de Clarke, à la position de la caméra mais également à toute l’âme qu’il a dû (j’imagine) mettre dans ces planches, peut être une partie de ses propres angoisses.
Une belle réussite.
Eric
Chroniqueur
La Bande Du 9
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